Afin d’assurer un déploiement et une utilisation efficaces de la capacité du système électrique, le service de connexion flexible sera mis en place, selon les amendements à la loi sur le marché de l’électricité, approuvés par la Saeima en lecture finale, jeudi 6 mars. 

ʺIl est important de parler de conditions de paix que seule l’Ukraine accepte. Il s’agit d’un accord acceptable pour le peuple ukrainien dans tous ses aspects, à savoir, de l’intégrité territoriale d’abord et, ensuite, des garanties de sécuritéʺ, a fait valoir Mme Daiga Mieriņa, Présidente de la Saeima, lors de l’entretien avec ses homologues estonien, islandais, lituanien, polonais, finlandais et ukrainien à Vilnius, Lituanie, lundi 10 mars.

Le 27 février est désormais la Journée mondiale des organisations non gouvernementales (ONG) en Lettonie, a décidé, aujourd’hui, la Saeima en adoptant en lecture finale des amendements à la loi sur les jours fériés et les dates marquantes. Les amendements ont été initiés par le Bureau de la Saeima

Jeudi 27 février, afin de renforcer la politique linguistique nationale, la Saeima a adopté en lecture finale, les amendements au Règlement intérieur de la Saeima, qui chargent le Conseil des ministres à présenter, tous les deux ans à la Saeima, un rapport sur les mesures prises relatives à la préservation, la protection, au développement et l’augmentation du rôle de la langue nationale.

ʺL’Ukraine et l’Europe doivent participer aux négociations de paix, où se décide l’avenir de l’Ukraine et le nôtre. Une paix gelée ou un cessez-le-feu sont défavorables pour l’Europe. Le traité de paix est dans l’intérêt de l’Europe, et il s’agit uniquement du traité de paix. L’indépendance de l’Ukraine ne doit pas devenir une monnaie d'échange entre les mains des superpuissancesʺ, a fait valoir Mme Daiga Mieriņa, Présidente de la Saeima, lors de la session extraordinaire de la Saeima convoquée pour commémorer les trois ans de l’invasion militaire massive de l’Ukraine par la Fédération de Russie, lundi 24 février.

Jeudi 20 février, la Présidente de la Saeima, Mme Daiga Mieriņa, s’est entretenue avec le Premier ministre de la République de Lituanie, M. Gintautas Paluckas, au Parlement afin de parler du soutien à l’Ukraine. Les parties ont convenu que l’Ukraine devait être présente à la table de négociations concernant le processus de paix.

ʺLa Lettonie est intéressée par une croissance sûre et stable dans les Balkans occidentaux, ainsi que par la poursuite de l’intégration de la présente région dans l’Union européenne. Nous sommes disposés à partager notre expérience dans le processus de réformes de la Serbie et nous nous félicitons de ce que l’intégration à l’Union présente un objectif stratégique pour la Serbieʺ, a affirmé Mme Daiga Mieriņa, Présidente de la Saeima, en accueillant Mme Ana Brnabić, Présidente de l’Assemblée nationale serbe, à la Saeima, mardi 18 février.

ʺFaire preuve de plus de fermeté ! Il est temps que l’Union européenne et chaque leader fassent davantage et assument davantage de responsabilités en matière de sécurité, non seulement en Ukraine, mais aussi en Europe et dans le monde entierʺ, a fait valoir Mme Daiga Mieriņa, Présidente de la Saeima, en s’adressant au public lors du débat annuel sur la politique étrangère, jeudi 30 janvier. Elle a souligné que la Lettonie était déjà un exemple pour de nombreux pays européens en matière de leadership dans la résolution de problèmes géopolitiques majeurs.

Jeudi 30 janvier, lors du débat annuel sur la politique étrangère au Parlement, Mme Ināra Mūrniece, présidente de la Commission des affaires étrangères, a fait valoir que nous pouvions raisonnablement s’attendre à ce que les États-Unis jouent un rôle moteur quant aux solutions dans la guerre de la Russie contre l’Ukraine. ʺLe dernier mot sur le cessez-le-feu ou la paix acceptable, doivent avoir les Ukrainiens eux-mêmes. C’est pourquoi l’Ukraine doit être assise à la table des négociations; il ne saurait être question de lui imposer un choixʺ, a-t-elle indiqué.

Mercredi 29 janvier, la Commission de suivi de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a approuvé le Rapport d’urgence sur la situation en Géorgie, préparé par Mme Zanda Kalniņa-Lukaševica, présidente de la Commission. Sur la base de ce rapport, l’Assemblée décide aujourd’hui des conditions de la poursuite de la coopération avec la Géorgie.